lundi 19 décembre 2016

Match racing et 1ère mise à l'eau

Le Shark de Jean Louis prêté à Robert Paul

Petit compte rendu de l’après-midi du 19 décembre 2016 par Robert Paul :


Les fêtes de Noël approchent, et chacun s’active à faire les derniers achats pour « la fête ».
De ce fait, le plan d’eau n’a pas été très fréquenté par les « voileux » du 1 mètre aujourd’hui. Cependant Les canards ne sont pas restés sans compagnie, car trois skippers étaient là pour les perturber, leur demandant de partager le plan d’eau avec eux.

Dom le Marin, Jean-Marc et Robert, (le noyau dur du club), jamais découragés même par une météo incertaine, ont fait naviguer leurs bateaux par une très petite brise. La température était aux environs de 7° C, mais étant donné le peu de vent et le petit rayon de soleil, nous n’avons pas eu froid, permettant tout de même de faire quelques « match-racing ».

À ce petit jeu-là, Jean-Marc est « impérial » comme toujours, et Robert, bien que pilotant le bon bateau que lui avait prêté Jean-Louis « n’a pas fait le poids », faisant trop d’erreurs de tactique.
Pourtant en « vitesse pure » comparée, le bateau de Jean-Marc « marche » très bien, mais ne laisse pas pour « ridicule » le bateau de Jean-Louis.

Robert en profite pour remercier Jean-Louis pour le prêt de son bateau, cela fait preuve d’une grande confiance, (ou peut-être une petite part d’inconscience), en tous cas, cela lui a permis de « s’éclater » à piloter le 1 mètre, laissant « la Belle Hélène », le Dragon-Force, se reposer un peu (pour la préparation des fêtes.) (LOL).
Jean-Louis était venu en début d’après-midi sur le parking, prêter son bateau à Robert, comme il lui avait proposé gentiment par téléphone, et est reparti très vite se remettre « au chaud ».
Il ne doit surtout pas faire trop d’imprudences pour revenir en forme au plus vite.

Dom le Marin venait pour essayer une superbe maquette, un RUBIN de chez Graupner, qu’il a complètement restauré, quelques réglages restent à faire, mais nous avons vu là un bateau qui promettait d’être un « bon marcheur », dans la catégorie : Voile de loisir.

Tout à coup, une idée me vient en tête : pourquoi, Mini-Flotte 76710 n’organiserait-elle pas, une régate, (ou rencontre) de bateaux maquettes à voile de loisir, ou semi-maquettes à l’occasion du rendez-vous maquettes prévu le Juillet et le 17 septembre 2017 ? .
(Il nous reste encore du temps pour en décider !) 
Cela pourrait permettre de réunir et rapprocher les skippers « loisir », qui n’ont pas souvent l’occasion de rencontrer les autres membres du club pratiquant : le Dragon-Force, le RG 65 et le 1 mètre.

Pour clore, le compte rendu de cette agréable journée, les skippers présents, se sont séparés en se souhaitant mutuellement de passer des bonnes fêtes de fin d’année, en ayant une pensée pour les autres skippers absents ce jour.

Match racing entre deux "classe 1 mètre" très performants :
Le Shark N° 152 et le Cheinz N° 191 de Jean-Marc

Jean-Marc encore imbattable aujourd'hui !
C'est le leader actuel de Mini-Flotte 76710 : il est impérial !

Dominique Bouju grée pour sa première mise à l'eau son nouveau "RUBIN" 

L'organisation électronique du "Rubin" mise en place par Dominique qui est un expert de la restauration des bateaux, un modéliste confirmé et un authentique marin surnommé "DOM LE MARIN".
 
La première mise à l'eau est toujours un moment fort pour un skipper : des liens sensoriels et affectifs le relient pour toujours à son nouveau bateau.
Le Rubin est un beau bateau de loisir qui a fier allure sur l'eau.

Dominique a complètement restauré ce bateau. Peut-être l'assiette de la coque est à équilibrer vers l'arrière : chose facile pour Dominique.

Les trois bateaux du jour...

Robert Paul régatant avec le Shark

Jean-Marc Dumenil et Robert Paul en match racing

Le "Rubin" s'est très bien comporté pour sa première sortie face à deux redoutables coursiers.

Le Chark, le Cheinz et le Rubin 3 avec Dominique Bouju.

Il est intéressant de comparer ces 2 "Classe 1 mètre" au Rubin 3. Celui-ci ressemble plus à un modèle réduit avec une quille plus courte, une coque plus large et beaucoup plus lourde et un gréement copié sur un gréement réel. 

"Les classe 1 mètre" n'ont pas du tout les mêmes paramètres : ce ne sont pas des modèles réduits car ils sont conçus par les architectes navals avec des rapports de forces qui leurs sont spécifiques pour la course, avec une quille très étroite et profonde avec un lest lourd et effilé égal à 60% du poids du bateau (2,400 kg), une surface de voilure surdimensionnée, une coque très étroite, un safran très grand et un poids de quatre kilogrammes au total pour le voilier prêt à naviguer. Autant dire que "le classe 1 mètre" est pratiquement inchavirable même dans les surventes. 
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